« Les plaines de l’espoir » d’Alexis Wright

Heureusement, des doctorants poursuivent le travail de René Girard, en particulier dans le domaine originel de la critique littéraire. Nous avons le plaisir de vous transmettre le lien de la revue PJCV de notre ami Andreas Wilmes donnant accès à un article récent de Mylène Charon dans le dernier numéro de sa revue :

https://trivent-publishing.eu/journals/pjcv2-1/10.%20Mylène%20Charon.pdf

proposant une lecture girardienne d’un roman australien.

Parmi les nombreux intérêts de cet article dont l’accès est sans doute rendu difficile du fait de l’ignorance de certains d’entre nous du roman analysé, celui-ci nous permet de prendre connaissance d’un roman des antipodes, de situations postcoloniales et de la condition aborigène, de l’œuvre d’une romancière traitant de l’exclusion des femmes et des violences qui leur sont faites alors que René Girard s’est vu parfois reprocher de n’en avoir pas inclus dans son panel critique.

Ce roman est contemporain : il vient ainsi montrer que les concepts de la théorie mimétique sont aussi opérants pour l’intelligibilité d’œuvres qui interviennent après Dostoïevski et Proust.

Bref Mylène Charon nous offre la possibilité de nous interroger sur l’universalité dans le temps et l’espace de la pensée de René Girard.

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